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BMC®, kézako




Facebook me rappelle de beaux moments en Body-Mind Centering®.

Je vous partage le post écrit il y a quelques années et qui, je l'espère, éclairera un peu de la riche et innovante approche somatique du Body-Mind Centering®, encore trop peu diffusée dans l'hexagone.

 

La fin d'un cycle… CÉLÉBRATION !

 

Sur les hauteurs de Valcivières, les derniers modules de la formation en Body-Mind Centering® se sont achevés avec beaucoup d’émotions.

Un voyage initié il y a 6 ans qui infuse doucement ses bienfaits.

 

Je suis un peu avec cette mélodie lancinante, cette mélancolie des transitions qui m’est familière, alors qu’une tranche de vie prend fin ; une mélancolie toutefois ensoleillée par la gratitude d’avoir rencontré cette précieuse approche.

 

Nous avons retraversé en accéléré les différents systèmes du corps (sens et perceptions, squelette, organes, liquides, système nerveux…), tout cela en mouvement, au repos, dégustant l’imaginaire poétique et la sensibilité de chaque intervenante.

 

Nous avons savouré quelques touchers si spécifiques au BMC® pour rencontrer nos corps organiques, liquides, vibratoires.

 

Nous avons goûter à nouveau aux cercles de partage d’expériences, de questionnements autour de la transmission et de l’incorporation de la matière BMC® ; car le parfum du BMC® s’imprègne de ces échanges dans une aventure autant individuelle que collective.

 

Source inépuisable pour la création, la recherche d’un équilibre de l’instant, le BMC® c’est aussi, surtout peut-être pour moi, une plongée au cœur de notre humanité, entre matière et cosmos, dans ses multiples dimensions.

 

Une immersion qui réveille un tendre émerveillement et offre de retrouver, au-delà de l’armure de concepts, de croyances et autres conditionnements qui nous façonnent, un goût de naturel, de spontanéité, de liberté.

C'est l'"Embodiment" (in-corporation), au centre du BMC® : La force de vie, qui est conscience-énergie, se fraie un chemin pour s’imprégner au cœur de chaque cellule, de chaque tissu.

Une fenêtre s’ouvre sur un sentiment de plénitude qui émerge de la globalité de l’être-corps-humain, celle de se sentir simplement vivant, à la fois singulier et "même", relié aux autres, au tout vibrant.

 

Le BMC c’est donc aussi une pédagogie, des ressources à la fois concrètes, tendres et subtiles pour guérir de cette "nostalgie de l’ailleurs" mise en lumière par Arouna Lipschitz, et aller vers une acceptation plus joyeuse de cette incarnation .

 

Je ne peux dissocier cette recherche en BMC de la voie du yoga si chère à mon cœur.

La pédagogie et les principes qui structurent cette approche somatique en constante évolution s’appuient sur des connaissances embryologiques, physiologiques, anatomiques modernes. Ces connaissances traversées de l’intérieur peuvent venir éclairer, enrichir la tradition, et m’apparaissent particulièrement adaptées à un public occidental en évitant certains écueils.

 

Une pensée émue aux compagnes et compagnons de route, enseignant-e-s et un hommage au mystère essentiel qui nous a réuni et qui a bercé nos explorations.

 

Floria

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